Merci Jonas, pédant, prétentieux…………….(13/11/2017)
13 novembre: des victimes des attentats dénoncent le mépris de Macron à leur égard

En France, deux ans après les attentats du Bataclan, des terrasses parisiennes et du Stade de France, les survivants craignent d’être oubliés. Des associations de victimes regrettent une attention insuffisante des pouvoirs publics à leur égard.
« Je refuse de saluer Emmanuel Macron »: voici comment Michael Dias commence sa lettre ouverte. Il est fils de l’une des premières victimes, tuée par un kamikaze le 13 novembre aux abords du stade de France. Dans ce texte véhément, publié par le site du Huffington Post, Michael Dias dénonce le mépris d’Emmanuel Macron pour les victimes. Il regrette également une stratégie de la banalisation du terrorisme.
Il est vrai que le président français a prévu une commémoration sobre ce lundi. Il ne fait pas de discours, n’inaugure pas de monument. Il a simplement prévu de se recueillir en comité restreint, sur le lieu des attaques.
Traumatisme
Dès le début du mandat d’Emmanuel Macron, les associations de victimes du terrorisme avaient regretté son indifférence « notamment parce qu’il avait supprimé le secrétariat d’Etat chargé de l’aide aux victimes, mis en place sous François Hollande« .
Ces derniers jours, le Premier ministre français a essayé d’apaiser la colère. Il a annoncé la nomination d’une déléguée interministérielle à l’aide aux victimes. Une interlocutrice stable et identifiée, comme le demandaient les associations.
Mais deux ans après les attentats, ces associations se plaignent toujours des très grandes lenteurs administratives dans la prise en charge de leur traumatisme.

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