Archive pour la catégorie 'ACTUALITES'

Bonne initiative……………………(30/07/2018)

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Le parquet de Paris ouvre une enquête pour « violences » et « harcèlement sexuel » après l’agression d’une femme en pleine rue à Paris
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Publié dans:ACTUALITES |on 30 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

Lettre du PS…………………….(28/07/2018)

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Lettre du PS.........................(28/07/2018) dans ACTUALITES upload-file-947102962017

 

Parce que le pouvoir sait. Parce que le pouvoir cache. Et parce que depuis jeudi dernier, le pouvoir ment.

Bonjour à toutes et à tous,
Hier soir, le Bureau national extraordinaire a décidé de présenter une motion de censure contre le Gouvernement avec l’ensemble des groupes d’opposition de gauche à l’Assemblée nationale.
Depuis le début, les socialistes se sont battus pour faire la lumière sur l’affaire Benalla-Macron. Ce sont eux qui ont trouvé le levier afin de mettre en place rapidement une Commission d’enquête à l’Assemblée nationale; de donner les marges de manœuvre nécessaires à la Commission d’enquête au Sénat; et qui aujourd’hui sont à l’initiative d’une motion de censure proposée à l’ensemble de l’opposition de gauche à l’Assemblée nationale. Nous avons été présents à chaque étape pour que la vérité soit faite, nous n’abandonnerons pas.
L’affaire Benalla-Macron est un mensonge d’Etat. Nous sommes face à un pouvoir qui ment, et qui cherche à protéger un système au plus haut niveau de l’Etat.
Le 1er mai, l’affaire Benalla n’est encore qu’un fait divers, mais le 2 mai, elle devient une affaire d’Etat, « parce que le pouvoir sait, parce que le pouvoir cache, parce que depuis jeudi dernier, le pouvoir ment », comme l’a affirmé le Premier secrétaire.
Depuis, le travail de la Commission d’enquête à l’Assemblée nationale n’a eu de cesse d’être entravé par la majorité présidentielle, refusant par exemple d’auditionner plusieurs proches du chef de l’Etat dont les noms ont été cités dans l’affaire. De nombreuses incohérences, mais surtout des mensonges, font apparaitre de graves zones d’ombre dans le rôle d’A. Benalla et plus largement dans l’organisation du Cabinet du président de la République.
Aujourd’hui, nous n’avons d’autres choix que cette arme constitutionnelle, le dépôt d’une motion de censure, pour alerter nos concitoyennes et concitoyens, pour dire et redire que l’affaire Benalla n’est pas un simple fait divers, ni une « tempête dans un verre d’eau ».
Il y a un an Emmanuel Macron prétendait mettre l’exemplarité au coeur de la République. Attaques contre les médias, affaiblissement du Parlement, mépris des corps intermédiaires : aujourd’hui, il cède à la tentation d’un pouvoir personnel aux accents populistes.
Face à cela, nous allons proposer une autre façon de concevoir le pouvoir pour mieux le rendre collaboratif, participatif et que l’équilibre des pouvoirs ne soit pas simplement un voeu mais une réalité.

« Face au mensonge d’Etat, face à la dérive d’un système, nous voulons le rééquilibrage des pouvoirs »

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Retrouvez la vidéo d’Olivier Faure !

Retrouvez le texte de notre motion de censure

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#AffaireBenallaMacron : La question d’Olivier Faure pour dénoncer un « scandale d’Etat »

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Brocardant la transformation de l’Etat de Droit en « Etat de passe-droits », Olivier Faure, lors d’une Question au Gouvernement mardi 24 juillet, a fustigé un « clan qui s’autorise tout parce qu’il ne se croit redevable de rien », et a rappelé la détermination des députés socialistes à obtenir la vérité.
Retrouvez la vidéo et le texte de l’intervention d’Olivier Faure

Retrouvez les vidéos du groupe Nouvelle Gauche

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Publié dans:ACTUALITES |on 28 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

Indépendance de la justice………..(25/07/2018)

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Le Conseil d’Etat refuse de suspendre en urgence le décret réduisant la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires
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Publié dans:ACTUALITES |on 25 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

La lmettre de Laurent Joffrin……………(14/07/2018)

Libération 16 juillet 2018
Laurent Joffrin
La lettre politique
de Laurent Joffrin

Le 14 Juillet du ballon rond

Faut-il bouder son plaisir ? L’unanimisme est toujours suspect, certes. Mais tout de même : le patriotisme bon enfant de l’équipe de France déteint sur tout un peuple, qui emplit trois fois de suite les Champs-Elysées d’une France mélangée, fervente et unie, comme elle envahit les places de toutes les villes et de tous les villages. L’espace d’un instant, voilà qui fait chaud au cœur.

Illusion ? Non : symbole. Un symbole qui ne change pas grand-chose aux réalités cruelles de la société, mais qui agit sur les esprits, les mentalités et, peut-être un jour, sur les comportements. Unanimisme plus riche qu’on ne croit, puisqu’au bout du compte, à lire entre les lignes des hommages et des commentaires, il y en a plusieurs. Congédiée l’espace d’une Coupe du monde, la politique sourd malgré tout dans les interstices de la joie collective.

On laissera de côté l’extrême droite, décidément obsessionnelle. Dans ces cercles nationalistes incapables de communier avec la nation, on débat gravement d’une question essentielle : fallait-il soutenir une équipe de France «africaine», ou bien soutenir les Croates, «catholiques et slaves», Blancs quoi… Autrement dit, fallait-il être ouvertement «racines chrétiennes» ou bien mettre son racisme en veilleuse le temps d’un match ? Considération anecdotique, quoique inquiétante par le nombre des internautes qui fréquentent les sites en question.

La droite classique se tient mieux. Le Figaro, par exemple, contourne la question «multiculturelle» en mettant en exergue «le retour du patriotisme», qu’elle a tendance à confondre avec le nationalisme. Comme s’il était parti lors des coupes précédentes, comme si sous Chirac, Sarkozy ou Hollande nous étions sous le règne de l’anti-France. Comme si ces joueurs, dont les familles viennent souvent d’ailleurs – c’était déjà le cas en Suède en 1958, comme à chaque coupe – et qui jouent dans leur grande majorité ailleurs, dans cette Europe honnie par les souverainistes, avaient eux aussi le culte de l’identité étroite, fermée, culturellement homogène. Ils montrent, au contraire, qu’on peut être patriote et mélangé, être de Bondy par sa naissance et du Cameroun par son père, de Roissy-en-Brie et d’une famille guinéenne, sans que cela pose de faux problèmes de loyauté ou d’attachement à son pays. Comme si les enfants des cités qui ont afflué en masse au cœur des villes, et qu’on désigne trop souvent comme des mauvais Français, ne chantaient pas la Marseillaise comme les autres.

Le football professionnel, au demeurant, est un microcosme. Il est dominé par le culte de la réussite, sportive et financière. Comme le principe d’efficacité emporte tout, il laisse les considérations sociales, ethniques, religieuses, non pas au vestiaire, mais hors des stades. On devine la devise implicite des entraîneurs : qu’il soit noir, jaune ou bleu, musulman, catholique ou bouddhiste, celui qui marque des buts est notre homme. Voir Griezmann, Mbappé ou Pogba. Outre les convictions, qui jouent leur rôle, c’est la raison pour laquelle Deschamps et ses joueurs ont trouvé la parade : ce «vive la République !», qu’ils répètent à chaque apparition comme un mantra. République de l’égalité et du mérite, avec un reste de fraternité : la définition n’est pas si mauvaise. Le foot, sous cet angle, est supérieur à l’ENA et à Polytechnique, où les biais sociaux demeurent. Mais le plus rassurant, c’est la réaction du public, tout aussi divers que son équipe. Plus de «black-blanc-beur », qui sépare, mais un «bleu-banc-rouge» qui réunit, dans une révérence tranquille envers les valeurs républicaines. Plus «d’indigènes de la République» enfermés dans une idéologie victimaire, mais des républicains de partout, même des territoires qu’une certaine droite tient pour perdus. Un 14-Juillet du ballon rond, célébré le 15 et le 16, dont il faut rappeler qu’il ne commémore pas la prise de la Bastille, événement violent, mais la fête de la Fédération de 1790, autre moment d’unanimité.

Laurent Joffrin
Publié dans:ACTUALITES |on 16 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

On est les champions, on est les champions…(15/07/2018)

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VIDEO. « We are the Champions ! » : vingt ans après, les Bleus de 2018 reprennent à leur tour le tube de Queen dans les vestiaires
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Publié dans:ACTUALITES |on 15 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

Espèrons……………………(13/07/2018)

 

 

Diapositive 1 sur 15: U03

Publié dans:ACTUALITES |on 13 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

Un effet secondaire du Brexit……………….(11/07/2018)

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Coupe du monde 2018 : du suspens (encore), de la bière (en l’air), un photographe (par terre)… Ce qu’il faut retenir de la victoire de la Croatie face à l’Angleterre
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Publié dans:ACTUALITES |on 11 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

Cocorico……………………(11/07/2018)

L’équipe de France s’est qualifiée mardi pour la finale de la Coupe du monde en venant à bout des Diables rouges 1-0 dans un match rude.

  • Tout Bleus tout flamme vers la finale

C’est un joueur blessé, aux soins tous les jours depuis qu’il a posé le pied en Russie, qui a ouvert les portes d’une finale mondiale à l’équipe de France mardi à Saint-Pétersbourg : vainqueurs 1-0 d’une très forte sélection belge grâce à un but du défenseur Samuel Umtiti sur corner, les Bleus iront quérir dimanche à Moscou une seconde étoile symbolisant un deuxième sacre mondial contre l’Angleterre ou la Croatie, qui apparaissent l’une et l’autre moins talentueuses et moins solides que les Tricolores. Si le score minimal face aux Belges dit l’âpreté du combat, il ne raconte pas la mainmise des Bleus passée la première demi-heure, l’avant-centre Olivier Giroud ayant manqué quatre occasions d’éviter des sueurs froides aux copains. Après, dans le jeu, ça ne paye pas de mine. C’est justement le danger.

Partie d’échecs

Les Bleus étaient confrontés à deux équations inédites à l’échelle du Mondial russe : un adversaire qui les vaut sur l’addition des talents individuels et le coach de l’équipe d’en face, Roberto Martínez, qui n’avait aucune chance de traverser la partie les yeux fermés, à l’image de sélections argentine (4-3 pour les Bleus en 8e) ou uruguayenne (2-0 en quart) venues faire leur truc (le jeu pour les premiers, la destruction pour les seconds) face à Paul Pogba et consorts sans un regard pour ce que le sélectionneur tricolore, Didier Deschamps, boutiquait avec ses joueurs.

Une heure avant le match, badaboum : Martínez abandonne sa défense habituelle à trois défenseurs axiaux pour passer à quatre derrière (joueurs de côté compris), comme face au Brésil lors du tour précédent. Coup d’envoi : les quatre premiers duels aériens pour les Bleus, une cavalcade de Kylian Mbappé, les Belges mettent lourdement la main sur le match à coups de redoublements de passes (sans aucun danger pour les Tricolores) sur leur base arrière. Et l’équipe de France s’y est résolue, la partie d’échecs pouvait commencer. Basée sur un principe simple : se gagner de l’espace offensif et de la verticalité en laissant le ballon à l’adversaire. Ce qui, a contrario, oblige l’équipe qui le maîtrise à ne prendre aucun risque – une interception peut être mortelle – quand elle contrôle la sphère.

Donc, on a avancé piano. Essentielle dans cette configuration, la sûreté technique est belge, sans même parler des moments où leur star, Eden Hazard, a eu le ballon : deux minutes après que Varane a sorti d’un réflexe de la tête une frappe de Hazard sous la barre tricolore, le gardien des Bleus, Hugo Lloris, a dû décoller comme un avion de chasse dans sa lucarne droite (son bon côté) pour sortir une frappe de Toby Alderweireld (21e), faute de quoi… Lancé par Mbappé, Benjamin Pavard s’est présenté seul devant Thibaut Courtois, le portier belge : extraordinaire parade de la jambe droite du double mètre de Chelsea (39e). 0-0 aux citrons. Les Bleus ont souffert.

Pour autant, au décompte des opportunités de marquer, et c’est bien la seule chose qu’il faille compter dans un contexte aussi fourbe et mensonger (prends le ballon, j’en veux pas), l’équipe de France est à touche-touche. Après six minutes de jeu en seconde période, elle n’en est plus là : Olivier Giroud et sa grosse caisse ont obtenu un corner qu’Antoine Griezmann a expédié sur la tête de Samuel Umtiti au premier poteau (1-0, 51e). Tout a basculé là : le score, la bataille des espaces (les Belges sont obligés d’aller vers l’avant, donc d’en laisser) et même le momentum, Mbappé ­alignant ensuite les talonnades comme s’il participait à un concours d’habileté sur la dalle du ­Trocadéro.

La croix et la bannière

Les Bleus avancent depuis trois semaines avec un truc en tête : pour leur mettre un pion alors qu’ils ont un but de plus, c’est la croix et la bannière. On s’est penché sur cet art délicat de la fermeture des espaces : tout le monde s’y colle, même Giroud, ils y mettent énormément de concentration et d’intensité quand l’adversaire passe par les airs et on cible minutieusement les éléments d’en face les plus dangereux sur leur qualité, le pied droit de Kevin De Bruyne quand celui-ci repique dans l’axe par exemple (trois joueurs lui sautent alors dessus), ou encore le jeu aérien de Marouane Fellaini (Paul Pogba à ses basques sur chaque action).

On ne dédaigne pas, aussi, passer plus de temps que nécessaire à se rouler dans le gazon russe, histoire d’entendre plus à son aise l’aiguille des secondes. A deux ou trois actions confuses près, le plus gros frisson tricolore aura été l’annonce des arrêts de jeu : six minutes. On s’est dit que ça allait être long. Même pas. Griezmann puis Corentin Tolisso se sont créé les deux plus belles opportunités. Des monstres.•

Grégory Schneider Envoyé spécial à Saint-Péterbourg

Publié dans:ACTUALITES |on 11 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

Oral de rattrapage…………………….(09/07/2018)

Alors qu’il chute dans les sondages d’opinion, Emmanuel Macron a reproduit l’exercice de l’été dernier au château de Versailles.

Un oral de rattrapage ? C’est de saison : Emmanuel Macron a convoqué les 925 parlementaires français au château de Versailles, ce lundi 9 juillet, pour assister à son deuxième discours du Congrès. Alors que le chef de l’Etat traverse une passe difficile dans l’opinion, il a fait face à plus de sièges vides que l’an dernier : outre les députés « insoumis », qui boycottent une nouvelle fois l’événement, plusieurs figures de l’Assemblée nationale, dont le hamoniste Régis Juanico, la socialiste Marie-Noëlle Lienemann, plusieurs députés LR et même un député LREM, le Morbihannais Paul Molac, ont décidé de passer leur tour.

Parmi les raisons souvent affichées : le coût de l’organisation, estimé à hauteur de 286.000 euros selon « le Parisien », mais aussi la dimension verticale voire « monarchique » de l’exercice.

Publié dans:ACTUALITES |on 9 juillet, 2018 |Pas de commentaires »

COCORICO…………………………..(06/07/2018)

COCORICO................................(06/07/2018) dans ACTUALITES 47c3a9a0f693b9ca6a6a91d6caa408a1
FLASH INFO SPORT
Aujourd’hui 18:04
La France en demi-finale du mondial !!! Victoire 2-0 face à l’Uruguay grâce à des buts de Varane et Griezmann.
 
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Publié dans:ACTUALITES |on 6 juillet, 2018 |Pas de commentaires »
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