La lettre de Laurent Joffrin……….(12/02/2020)
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Recyclage : le retour de la consigne pour les bouteilles en plastique est-il une idée en carton ? | |
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Les ministres sont-ils « hors la loi » lorsque les moteurs de leur voiture tournent à l’arrêt devant l’Assemblée, comme l’affirme François Ruffin ? | |
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« Un risque d’effondrement » pour plus de 800 ponts en France : quatre questions sur ce chiffre inquiétant | |
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Moins cher le plastique recyclé ? Le gouvernement entend mettre en place à partir de 2019 un système de « bonus-malus » pour généraliser le recyclage du plastique, donc passer par le portefeuille des consommateurs, en pleine vague mondiale de réglementation du secteur.
« Demain, quand il y aura le choix entre deux bouteilles, l’une fabriquée en plastique recyclé et l’autre non, la première sera moins chère », a déclaré Brune Poirson, secrétaire d’Etat à la Transition écologique et solidaire, dans un entretien au « Journal du dimanche » (JDD).
Cette mesure, que Brune Poirson veut mettre en œuvre en 2019, avant de la « faire monter en puissance », consistera en un « bonus-malus » sur les produits à base de plastique et pourra aller jusqu’à 10% de leur prix.
La secrétaire d’Etat ne précise pas dans quelle proportion le dispositif abaisserait le coût des objets en plastique recyclé et relèverait celui de ceux qui ne le sont pas.
Brune Poirson s’est également abstenue d’établir un calendrier pour la mise en place généralisée d’une consigne sur le plastique. Piste évoquée par le ministère en début d’année, il consiste à associer un emballage à une caution que le consommateur paye à l’achat du produit et récupère sous forme monétaire ou de bon d’achat lorsqu’il le restitue.
Emmanuel Macron avait promis pendant sa campagne d’arriver à 100% de recyclage des plastiques d’ici 2025 en France, contre 25% environ aujourd’hui, selon une étude de « 60 Millions de consommateurs ».
La France, mauvaise élève de l’Europe ? (SIMON MALFATTO, VALENTINA BRESCHI / AFP)
Le bonus-malus est « une logique dans laquelle on se retrouve », a déclaré à l’AFP Emmanuel Guichard, délégué général de la fédération française de l’emballage plastique (Elipso).
Encore faut-il que les alternatives au plastique existent, nuance-t-il toutefois :
« Pour les bouteilles, c’est un choix du consommateur qui est possible. Mais il ne faut pas oublier les autres. Sur le pot de yaourt, il n’y a aujourd’hui pas de plastique recyclé. »
« On espère que les industriels joueront le jeu pour que les consommateurs ne soient pas directement pénalisés », a relevé pour sa part Flore Berlingen, directrice de l’association Zero Waste France, interrogée par l’AFP.
Brune Poirson confirme ainsi la ligne du gouvernement : collaborer avec le secteur plutôt que bannir immédiatement certains produits, même si elle rappelle que l’exécutif veut interdire le commerce des pailles en plastique d’ici 2020.
« Le recyclage est essentiel, mais pas suffisant », regrette toutefois Flore Berlingen. « Il faut absolument couper le robinet et avoir des mesures plus fermes pour tout ce qui concerne le suremballage, les objets jetables. »
Le « bonus-malus est une partie de la solution, bien qu’incomplète, puisque cela ne concerne que le recyclage et non la réduction du plastique », a réagi Fanny Vismara pour le collectif « Plastic Attack France », rappelant que le verre, contrairement au plastique, était « recyclable à l’infini ».
L’industrie du plastique reste florissante : la production mondiale a progressé de plus de 40% en dix ans. Entre 2007 et 2017, elle est passée de 245 à 348 millions de tonnes, avec l’emballage comme premier débouché
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Hulot sous l’eau, les écolos soûlés
Doit-il partir ? Doit-il rester ? A son arrivée au gouvernement, en mai 2017, certains écologistes, comme Cécile Duflot, craignaient que Nicolas Hulot ne soit qu’un trophée permettant de mettre un coup de peinture verte sur un exécutif guère écolo-compatible. Mais tous, ou presque, soutenaient sa décision d’accepter la proposition d’Emmanuel Macron : prendre la tête d’un grand ministère d’Etat à la Transition écologique et solidaire, au périmètre large, comprenant l’énergie et les transports. Le pari vaut le coup d’être tenté, même s’il n’est pas gagné, se disaient-ils en substance.
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Un an plus tard, la plupart ont déchanté. Alors que le Premier ministre entame ce mardi l’évaluation de chacun de ses ministres en tête à tête, Hulot répète depuis quelques jours que non, il ne veut pas démissionner. Et que non, il n’a pas avalé de couleuvres. Ni sur l’application du Ceta, le traité de libre-échange avec le Canada, ni sur le report de l’objectif de 50 % de nucléaire dans le mix électrique à 2030 ou 2035, au lieu de la date de 2025, pourtant fixée dans la loi de transition énergétique de 2015 et maintenue par le candidat Macron. Ni sur la loi agriculture et alimentation qui ne grave pas dans le marbre la promesse présidentielle de sortir du glyphosate d’ici 2021. Ni sur l’autorisation de la bioraffinerie de Total à La Mède, qui carburera à l’huile de palme. Ou celle, probable, de la mégamine Montagne d’or, en Guyane.
Ce mercredi, Nicolas Hulot doit d’ailleurs présenter en comité interministériel un projet de loi biodiversité très attendu. Une cause qu’il considère aussi vitale que la lutte contre le changement climatique. Le ministre de l’Ecologie a d’ailleurs obtenu l’inscription, dans le premier article de la Constitution, de «la préservation de l’environnement et de la diversité biologique», en même temps que «la lutte contre les changements climatiques». Un symbole fort, mais juste un symbole.
«Dans les milieux écolos, je ne trouve plus personne pour comprendre qu’il soit encore là après tant de renoncements du gouvernement sur le front environnemental. Même ses plus ardents soutiens de toujours doutent et ont du mal à justifier sa posture», témoigne Jean-Marc Gancille, cofondateur de Darwin, un lieu alternatif bordelais dédié à la transition écologique, très apprécié du ministre. «Nicolas Hulot est intègre, c’est incontestable, estime l’eurodéputé EE-LV Yannick Jadot, mais il a vu ses engagements piétinés avec arrogance par d’autres ministres, comme celui de l’Agriculture, Stéphane Travert, le tout validé par Emmanuel Macron. Il sert de caution au pire. Un an après son arrivée, on ne peut que constater que s’il y a bien un sujet sur lequel Macron a instauré un gouffre entre le discours et les actes, c’est l’écologie.»
Pour Jadot, le lobby nucléaire «a totalement repris la main sur la feuille de route énergétique, comme la FNSEA et l’agrochimie ont repris la main sur l’alimentation». Et «les lobbys n’ont jamais été autant à la manœuvre», sous le regard impuissant de Nicolas Hulot. Le plus grave, selon lui, c’est que le Président «force l’écologiste le plus populaire à aller à la télévision pour justifier des renoncements et défendre l’indéfendable», comme lors de l’annonce du report de l’objectif de 50 % de nucléaire dans le mix électrique, que Hulot a dû assumer le 7 novembre. «On a l’impression qu’il a accepté la défaite. Ce n’est pas bon pour l’écologie, cela participe à la mise en scène de l’impuissance de l’écologie lorsqu’elle est au pouvoir, alors même qu’elle progresse dans la société», déplore Jadot. Qui croit déceler chez Hulot «une forme aiguë de syndrome de Stockholm».
L’été dernier, le ministre écolo se donnait un an pour évaluer si sa présence au gouvernement aura permis d’engager «un changement profond, une dynamique irréversible». Et ne cachait pas ses doutes en privé. Depuis, malgré ses démentis réguliers, malgré les «grosses avancées» qu’il met en avant, comme la très symbolique loi hydrocarbures ou «le leadership français sur le climat» affiché sur la scène internationale, il a eu du mal à masquer ses états d’âme. Il aurait plusieurs fois menacé de démissionner, notamment au moment de l’évacuation manu militari de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, en avril.
Beaucoup considèrent qu’il devrait effectivement jeter l’éponge. «Il se fait écrabouiller. Il faudrait qu’il parte, car il est en train d’attaquer sa propre crédibilité pour la donner à un gouvernement qui n’en a aucune et qui a montré son vrai visage : agressif, ultralibéral», assène Claire Nouvian, la fondatrice de l’ONG Bloom, qui déplore que la France ne se batte pas à Bruxelles pour interdire la pêche électrique, méthode qui vide les océans et menace la pêche artisanale. D’autres, au contraire, pensent que Hulot doit s’accrocher. Pour Pascal Canfin, ancien secrétaire d’Etat EE-LV de François Hollande et actuel directeur du WWF France, «à part le choix symbolique de ne pas construire Notre-Dame-des-Landes, il n’y a pour l’instant pas eu de rupture avec le modèle antérieur, mais il est trop tôt pour dresser un bilan» car Hulot «a encore de très gros chantiers devant lui». Et de citer l’élaboration en cours de la deuxième programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), qui doit mettre en musique les objectifs de la loi de transition énergétique de 2015 pour la période 2019-2023. Et son projet de loi pour «la reconquête de la biodiversité».
«Nicolas Hulot reste le mieux placé pour faire bouger les lignes, estime Canfin, et il conserve un capital politique exceptionnel, une relation directe avec les Français […]. Macron aurait tout intérêt à l’écouter plus et à lui donner plus de poids dans les arbitrages, car il décroche à gauche.» Pour lui, il existe tout de même une ligne rouge à ne pas franchir : Hulot «ne pourra pas rester si le gouvernement ne choisit pas de mettre réellement en œuvre la transition énergétique prévue dans la loi de 2015». De fait, les ONG s’inquiètent du fait que le débat sur la PPE ait complètement occulté la question du nucléaire, en repoussant l’échéance des 50 % d’atome dans le mix électrique à une date indéterminée. Nicolas Hulot a bien tenté de mettre la pression sur le «lobby», en jugeant le 21 juin que le nucléaire emmenait la France et EDF «dans une dérive».
Et vendredi, à l’occasion de la clôture du débat public sur la PPE, il a remis l’objectif des 50 % de nucléaire sur le tapis… mais sans dire s’il visait 2030 ou 2035. «Je souhaite qu’à la fin de l’année, on ait un calendrier précis avec un échéancier […], qu’on sache quels réacteurs [vont fermer]», a-t-il dit. Faute de jouer au héros sur l’atome, Hulot se veut le héraut des énergies renouvelables. Et Macron vient de lui donner des gages, en validant récemment les six projets éoliens offshore prévus en Bretagne. Pas sûr que cela suffise. Le secrétaire national d’EE-LV, David Cormand, souligne que «le problème, ce n’est pas Nicolas Hulot, ce sont tous les autres du gouvernement» et la majorité parlementaire qui «se désintéresse de l’écologie».
«Il est illusoire de vouloir faire fonctionner une application de transition écologique novatrice sur un vieux système d’exploitation libéral obnubilé par la croissance, analyse le cofondateur de Darwin Jean-Marc Gancille. Ce qui est regrettable, c’est que Nicolas Hulot était un porte-voix remarquable pour mobiliser l’opinion et mettre la pression. Or il perd petit à petit ce crédit et aucune autre personnalité d’envergure ne peut prendre le relais.»
En fait, la question n’est pas de savoir si, mais quand et comment Hulot va craquer. Certains estiment même qu’il «n’est pas du tout impossible qu’il parte mi-juillet» à l’issue d’un rendez-vous bilan crucial avec Emmanuel Macron. «Cet été, on aura avec le Président et le Premier ministre un moment de vérité. On fera le point, on tracera les perspectives», a indiqué Nicolas Hulot, le 16 mai sur BFM TV. Et de prévenir : «Si je sens qu’on n’avance pas, que les conditions ne sont pas remplies, voire éventuellement qu’on régresse, à ce moment-là, j’en tirerai les leçons», en se disant «capable de partir». Dans ce cas, partira-t-il en ayant négocié un ultime trophée ? Ou claquera-t-il la porte avec pertes et fracas ? «Il se dit sans doute qu’il vaut mieux partir après avoir gagné quelque chose. Mais j’exclus le coup de gueule, avance Yannick Jadot. Il partira en catimini, en disant « j’ai essayé, je n’y arrive pas ».»
Second rôle singulier dans «Au poste !», l’humoriste burlesque cultive le malaise et l’ennui.
Une victoire à Notre-Dame-des-Landes, des déceptions sur les pesticides, la réduction du nucléaire au point mort… Après un an, état des lieux.
Censé incarner une aile écologique et sociale au sein du gouvernement, Nicolas Hulot semble de plus en plus fragile.
Il le reconnaît lui-même : son portefeuille n’attire pas spontanément la sympathie. Qu’il s’agisse de serrer l’écrou sécuritaire (loi sur la sécurité…
Les pays de l’Union ont tout intérêt à défendre un budget commun qui financerait des initiatives durables. Il permettrait de redonner un sens au projet européen et créerait les nouveaux emplois du continent.
Une étude détaillée sur l’impact environnemental de la production de cette huile décriée montre que son interdiction pourrait aussi avoir de graves conséquences environnementales.
Les tirs d’élimination sont toujours privilégiés comme principal moyen de régulation. Mais tuer plus de bêtes suffit-il à faire baisser les attaques sur les troupeaux ? La recherche pourrait fournir d’autres solutions pour définir une politique durable de cohabitation avec ces canidés.
A Grenoble, où s’est tenue la convention de son mouvement Génération·s, Benoît Hamon a attaqué la politique d’Emmanuel Macron à l’égard des migrants, révélatrice, selon lui, d’une «défaite intellectuelle et morale».
Le Premier ministre est un fervent avocat des 80 km/h, qu’il porte seul et avec obstination malgré l’impopularité de la mesure.
Pour le philosophe, la pensée moderne nous a conduits à dominer la nature et à exploiter ses ressources. Un autre rapport au monde s’impose : une nouvelle spiritualité respectueuse de la planète et qui ne coupe pas l’homme du reste du vivant.
Un amendement demandant la retrait des contenants en plastique dans les cantines a bien été rejeté en avril dans le cadre de l’examen de la loi agriculture et alimentation. Le ministre de l’agriculture s’y est opposé à 4 reprises au moins.
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