Archive pour la catégorie 'HOMMAGE'

Quand il est mort le poëte……

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 » Ils quittent un à un le pays

  Pour s’en aller gagner leur vie. »

Tu nous a fait chanter, rêver, espérer et lutter avec toi contre les injustices et la connerie humaine, la haine et le mépris.

Tu étais le ménestrel qui dérangeait, le troubadour interdit d’antenne sous Giscard, le, chantre de la liberté, la petite voix qui dit NON à la dictature, au sabre et au goupillon.

Avec cette voix si profonde qu’elle nous envahissait d’une chaleur fraternelle, tu nous a fait partager l’amour, l’amitié, la poésie avec Aragon, la beauté de la nature et la simplicité.

Tu étais un artiste au sens plein du terme, un défenseur des opprimés, l’avocat des pots de terre.

Ja garderai toujours présent à l’esprit cette coupe de champagne prise ensemble et ta tristesse d’avoir perdu Ouralou, ton chien.

Tu nous manques déjà Jean.

Publié dans:HOMMAGE |on 13 mars, 2010 |Pas de commentaires »

Mort du pitre Patrick Topaloff……

« Quelle est lourde à porter l’absence d’un ami,

L’ami qui tous les soirs venait à cette table,

Et qui ne viendra plus, la mort est misérable

Qui poignarde le coeur, et qui le déconstruit.

Il avait dit un jour, lorque je m’en irai

Pour un lointain pays  au delà de la terre

Vous ne pleurerez pas, vous , leverez vos verres

Et vous boirez pour moi à mon éternité.

Et moi je reste là, au bord de mon passé,

Silencieux et vaincu tandis que sa voix passe,

Et j’écoute la vie s’installer à sa place

Sa place qui pourtant demeure abandonnée.

La vie de chaque jour, aux minuscules joies

Veut remplir à tous prix le vide de l’absence

Mais elle ne pourra pas, avec ses manigances

Me prendre mon ami pour la seconde fois.

Quelle est lourde à porter l’absence de l’ami

Quelle est lourde à porter l’absence de l’ami. »

G.Bécaud

Salut Patrick….

Publié dans:HOMMAGE |on 8 mars, 2010 |Pas de commentaires »

Salut l’artiste……

La disparition de Georges Wilson laisse le théâtre français en deuil

AP | 03.02.2010 | 23:30

Disciple de Jean Vilar, comédien et metteur en scène incontournable de la scène théâtrale française, Georges Wilson s’est éteint mercredi après-midi à son domicile, à l’âge de 88 ans.

Père de l’acteur Lambert Wilson, le comédien à la carrure imposante avait aussi joué de nombreux rôles au cinéma et à la télévision, mais était aussi passé derrière la caméra, pour réaliser « La Vouivre ».

« Mon père, jusqu’à ses dernières heures, n’a fait que parler de théâtre et dans ses derniers cauchemars, ou dans ses derniers rêves, il était dans le théâtre », a souligné Lambert Wilson sur France Culture, évoquant un « engagement de toute une vie » et « l’instinct d’acteur extraordinaire » de Georges Wilson.

« Encore en activité à l’automne dernier dans ‘Simplement compliqué’ de Thomas Bernhard, une pièce saluée par la critique et qui devait partir en tournée, M. Wilson a vu son état de santé se dégrader rapidement ces jours derniers », a déclaré mercredi à l’Associated Press Phil Sanders, assistant à la mise en scène sur sa dernière pièce.

Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson intègre en 1945 le cours de Pierre Renoir à la prestigieuse École d’art dramatique de la rue Blanche à Paris et se voit engagé par Jean Vilar en 1952 au Théâtre national populaire (TNP).

Pour cette salle, il signera en plus de la création d’ »Ubu Roi » ou « Tucaret », six mises en scène dont « La Lumière de Bohème » de Valle-Inclan, distinguée du Prix de la mise en scène en 1962.

Quittant le TNP en 1972, il créée en Avignon « Ubu à l’Opéra » d’après Alfred Jarry, spectacle qu’il reprendra au Théâtre de l’Est parisien.

S’attelant à la mise en scène tout en poursuivant sa carrière de comédien, il signe ensuite « Sarah et le cri de la langouste » de John Murreil (1983) ou « Un Otage » de Brendan Behan au Théâtre de la Madeleine avec Jacques Dufilho.

Un acteur que Wilson retrouve en 1985 dans « L’Escalier » de Charles Dayer, puis dans une nouvelle version de « Léopold le Bien-aimé » au Théâtre de l’Oeuvre, établissement dont il assurera la direction artistique de 1978 à 1995.

Avec le même comédien en vedette, Georges Wilson enchaîne avec « Je ne suis pas Rappaport » de Herb Gardner, puis avec « Le Météore » de Dürrenmatt.

Avec son fils Lambert Wilson, sa direction de « Ruy Blas » donnée aux Bouffes du Nord en 1992 est saluée par la critique, tout comme le fut à l’international, sa mise en scène de l’oratorio « Jeanne au bûcher » d’après Claudel et Honeger, donné au Carnegie Hall à New York en 1984, sous la baguette de Seiji Ozawa.

En 2000, Georges Wilson recevait le Molière du meilleur second rôle pour « Une chatte sur un toit brûlant », pièce partie en tournée l’année suivante.

A la télévision, en plus de nombreuses apparitions comme acteur, comme dans la série « L’homme de la nuit », il avait réalisé le téléfilm adapté de la pièce de Jean Sarment « Léopold le Bien-aimé », qui lui a valu une récompense au Festival de Marrakech et un prix d’interprétation au Festival de Monte-Carlo.

Au cinéma, l’on se souvient de son premier long métrage comme réalisateur, tiré du roman éponyme de Marcel Aymé « La Vouivre » (1988), dans lequel il dirigea à nouveau Jacques Dufihlo, son fils Lambert Wilson, Suzanne Flon et Jean Carmet.

Toujours au cinéma comme acteur, où il débuta en 1954 dans « Le Rouge et le noir » de Claude Autant-Lara, Georges Wilson travaillait « au coup de coeur », comme pour son rôle du capitaine Haddock dans « Tintin et le mystère de la Toison d’or ».

Il a entre autre travaillé avec Henri Verneuil dans « Mayrig » et « 588 rue de Paradis », mais a aussi joué dans « Max et les ferrailleurs » de Claude Sautet, « L’Honneur d’un capitaine » de Pierre Schoendoerffer, « La Tribu » d’Yves Boisset, « Marquise » de Véra Belmont et pour son dernier rôle sur grand écran, dans « L’Ennemi public N°1″ de Jean-François Richet en 2007.

Le président Nicolas Sarkozy a rendu hommage à la mémoire de Georges Wilson, notant qu’ »avec la disparition de Pierre Vaneck, le théâtre français prend deux fois les couleurs du deuil ».

Georges Wilson, a déclaré M. Sarkozy dans un communiqué diffusé par l’Elysée, « n’a pas théorisé le théâtre », il « a été le théâtre. Compagnon de Gérard Philippe, de Jean Vilar, il a incarné un théâtre national, un théâtre populaire. Il a aussi habité de grands rôles de cinéma. Il était cher au coeur des Français ». Le chef de l’Etat a adressé ses « sincères condoléances à sa famille, avec une pensée particulière pour son fils Lambert Wilson ».

Le Premier ministre François Fillon a quant à lui salué en Georges Wilson « la grande figure par excellence du théâtre français ». « Shakespeare, Anouilh, Ionesco, Tennessee Williams, Bertold Brecht perdent un serviteur à la hauteur de leurs personnages », a-t-il observé dans un communiqué. « Quant au public français, il voit s’éteindre un visage familier et un homme dont la vie se confondait avec le théâtre ».

Le ministre de la Culture et de la communication Frédéric Mitterrand a exprimé de son côté sa « profonde émotion », saluant un « maître de l’art dramatique », l’un des « plus grands comédiens et metteurs en scène français du XXe siècle », l’ »emblème même d’une certaine idée de l’art de la scène, profondément humaniste, fidèle au meilleur de la tradition française », a-t-il estimé dans un communiqué.

L’ancien ministre socialiste de la Culture Jack Lang a lui rendu hommage à un « homme de théâtre d’exception », un « comédien prenant et doué d’une présence inimitable et incomparable ». AP

 

Publié dans:HOMMAGE |on 4 février, 2010 |Pas de commentaires »

« Pourquoi ont-ils tué Jaurès….? » (Jacques Brel)

1859-2009 : Jaurès, l’homme liberté

Anniversaire. 1859-2009, La Dépêche du Midi honore Jean Jaurès.

Il y a 150 ans aujourd’hui, naissait Jean Jaurès. Cet événement, concernant un homme auquel pas une ville de France n’a omis d’accorder le nom d’une rue ou d’une avenue, suffirait en soi à justifier un rappel, une commémoration.

Pour nous, ici, dans le Midi Toulousain, et plus particulièrement au sein même de notre journal qui, depuis 139 ans témoigne de la vie quotidienne, il s’agit d’une présence particulièrement forte dans nos mémoires. L’enfant de Castres, boursier de la République deviendra le héraut le plus charismatique de la pensée sociale de notre temps. Celui qui, pourtant parvenu au faîte de la notoriété, n’oubliera rien de ses racines occitanes, se définissant comme « un paysan cultivé ». Cette immense figure de l’esprit public mais aussi de l’action à son service, a été pendant plus d’un quart de siècle le collaborateur fidèle et confiant de La Dépêche.

De son premier article, daté du 21 juin 1887, à son dernier, le 30 juillet 1914, la veille de son assassinat, Jaurès aura accordé, même après avoir fondé son propre journal : L’Humanité, le plus limpide et le plus profond de sa pensée au journal de Toulouse.

Une fidélité sans faille que cet amoureux de la liberté, aussi bien que l’homme politique épris de justice justifiait ainsi : « Pour ma dignité comme pour la sienne, jamais la Dépêche n’a contesté ma pleine liberté de parole ».

Cette phrase, prononcée lors d’une réunion publique à Toulouse en 1908, constitue un hommage qu’à son tour, notre journal a décidé de retourner à son auteur. En publiant, aux éditions Privat, pour la première fois, la totalité des textes que Jaurès a confiés à La Dépêche.

Ce 150e anniversaire de la naissance du grand tribun, homme d’ici mais qui appartient désormais au monde, nous en a fourni l’occasion. Mais au delà, c’est à un véritable rappel de mémoire qu’invite cette publication. À un rappel de ce que furent les multiples talents de Jaurès : Tarnais attaché à sa terre dont il sera longtemps l’élu, professeur de philosophie et adjoint au maire de Toulouse, en charge des questions scolaires, penseur visionnaire d’une république dont il disait que « l’homme ne peut s’élever sans monter vers elle ». Cet ouvrage sera présenté officiellement, ce matin, dans les salons de notre journal, en présence de très nombreuses personnalités. Ce recueil exceptionnel va permettre de revisiter l’œuvre immense et foisonnante de Jaurès.

Celle, connue, du combattant inlassable pour la justice sociale et la paix. Celle du théoricien scrupuleux du radicalisme et du socialisme qu’il nomme lui-même « les idéaux politiques de l’espoir ».

Celle d’une laïcité sans faille mais ouverte, portée par un homme qui déclarait avoir « l’idée de Dieu ». Celle aussi du pourfendeur de l’antisémitisme et des scandales financiers. Jaurès paysan, Jaurès amoureux des lettres et des arts, Jaurès acteur ardent et inspiré de la politique, partout, comme l’a écrit Camille Huysmans « Jaurès était plus que la parole, il était la conscience ».

Publié dans:HOMMAGE |on 3 septembre, 2009 |Pas de commentaires »

Il est mort le poëte, adieu Fanette…

Il y a 30 ans, Jacques Brel disparaissait

NOUVELOBS.COM | 09.10.2008 | 07:54

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Les 30 ans de la mort de Jacques Brel sont célébrés ce jeudi. Décédé le 9 octobre 1978 à 49 ans d’un cancer du poumon à Bobigny, près de Paris, l’artiste belge laisse derrière lui des chansons devenues desvmonuments du patrimoine francophone.

Jacques Brel (Sipa)

Jacques Brel (Sipa)

L‘anniversaire des 30 ans de la mort de Jacques Brel, artiste qui personnifie presque à lui seul la chanson francophone, est célébré ce jeudi 9 octobre. Le chanteur belge est en effet décédé le 9 octobre 1978 à 49 ans d’un cancer du poumon à Bobigny, près de Paris. Il avait regagné la métropole l’été précédent depuis la Polynésie, où il avait choisi de finir sa vie, suivant enfin l’avis des médecins. Il laisse derrière lui le parcours de celui qui reste l’un des plus grands noms de la chanson francophone et le modèle de l’artiste excessif sur scène.

Patrimoine francophone

Jacques Brel est d’abord connu pour ses chansons devenues des monuments du patrimoine francophone : « Ne me quitte pas », « Amsterdam », « Ces gens-là », « Mathilde », ou encore « Les vieux ».
Jacques Brel, c’est aussi l’image d’un artiste qui semblait se consumer sur scène, comme si sa vie en dépendait, et habitait ses personnages, gestes théâtraux et visage en sueur.
Il a marqué son époque et les suivantes, de jeunes artistes se réclamant aujourd’hui de son influence, tel le rappeur Abd al Malik qui travaille avec son ancien pianiste (et mari de Juliette Gréco), Gérard Jouannest.

Hommages

En hommage à Jacques Brel, sont programmés entre autres des sorties de livres et de CD. Une vente aux enchères d’une collection dédiée au chanteur a par ailleurs eu lieu, mercredi, à Sotheby’s. Le manuscrit de la chanson « Amsterdam », clou de la vente de souvenirs, est parti à près de 110.000 euros (soit 90.000 euros hors frais) alors que se sont dispersés, à des prix soutenus, manuscrits, guitares et autres souvenirs du chanteur disparu il y a 30 ans. Le montant total de la vente qui proposait 95 lots, manuscrits de paroles de chansons, disques, photographies, guitares, enregistrements, affiches, s’est élevé à 1,27 million d’euros (avec les frais), contre une estimation initiale de 340.000 à 470.000 euros.
Des commémorations ou actions symboliques sur la mort du chanteur sont organisées dans divers endroits.
Ainsi à Hiva Oa, l’île des Marquises où Jacques Brel vécut trois ans à la fin de sa vie, célèbre les 30 ans de sa mort avec l’inauguration jeudi d’un aéroclub à son nom.
Yves Jégo, le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer était mercredi aux Iles Marquises. Il a participé à Hiva Oa, une île sud de l’archipel, à une cérémonie au petit cimetière d’Atuona, où est enterré le chanteur, à quelques mètres de la sépulture du peintre Paul Gauguin.

A côté de Paul Gauguin

Jeudi, il sera l’invité du nouvel aéroclub « Marquises-Jacques Brel », dont le chanteur rêvait pour faire partager sa passion pour l’aviation.
Pour cette cérémonie comme pour la visite au petit cimetière et l’inauguration du buste de Jacques Brel dans l’espace qui lui est consacré, Yves Jégo sera accompagné de « Miche » Brel, 81 ans, l’épouse du chanteur, dont ce sera le premier voyage aux Marquises.
Par ailleurs, jusqu’au 12 octobre, pendant le Centenaire de l’Industrie aérospatiale française, le deuxième avion de Jacques Brel, un Wassmer Super 421, sera exposé sur les Champs-Elysées à Paris.
Une exposition a également été montée en Belgique, l’exposition « J’aime les Belges », sur les liens entre Jacques Brel et son pays, a lieu à Bruxelles.

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Publié dans:HOMMAGE |on 9 octobre, 2008 |Pas de commentaires »
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