RIP……………………….(21/02/2020)
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Michel Charasse, ancien ministre et membre du Conseil constitutionnel, est mort à l’âge de 78 ans | |
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Cette nuit, on passe à l’heure d’hiver ! Voici cinq articles à lire avant de régler vos montres | |
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Par L’Obs
Publié le 10 juin 2018 à 08h12
Le président américain Donald Trump a fait volte-face ce week-end contre ses alliés d’Europe et du Canada, qu’il a menacés de droits de douanes alourdis, après un sommet du G7 qui s’est fini en fiasco.
Des tensions qui tranchent avec « l’unité » affichée lors d’un sommet en Chine réunissant notamment les chefs d’Etat chinois, russe et iranien sur fond de tensions commerciales et diplomatiques avec les Etats-Unis.
Samedi, Donald Trump a brusquement retiré samedi son soutien au communiqué final du sommet de deux jours à La Malbaie (Québec, est du Canada), malgré le compromis qui avait été forgé de haute lutte sur les questions commerciales.
Sa délégation et lui-même avaient pourtant donné leur aval à ce document en 28 points péniblement négocié par le « Groupe des sept » (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie, Japon).
Donald Trump a justifié ce camouflet infligé aux vieux alliés des Etats-Unis par des propos de Justin Trudeau, l’hôte du sommet, lors de sa conférence de presse de clôture.
Le Premier ministre du Canada, pays frappé comme l’Europe et le reste du monde de nouveaux droits de douanes américains sur l’acier et l’aluminium, a redit à cette occasion que ces taxes étaient « insultantes », au regard de l’histoire entre les deux pays. Comme l’Union européenne, il a confirmé des représailles pour juillet.
« Les Canadiens sont polis et raisonnables, mais nous ne nous laisserons pas bousculer », a déclaré le Premier ministre, qui avait auparavant loué le consensus trouvé par les sept sur une série de sujets. Un texte qui ne résolvait pas le conflit en cours, mais qui était salué par tous comme un pas vers la désescalade et le dialogue.
Quelques heures plus tard, piqué au vif par ces paroles, le milliardaire a tweeté, depuis Air Force One, qu’il avait ordonné à ses représentants de retirer le sceau américain du communiqué final.
Il a aussi traité Justin Trudeau de personne « malhonnête et faible »… alors qu’il avait dit la veille que la relation bilatérale n’avait jamais été aussi bonne dans l’histoire des deux pays.
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Trois personnes placées en garde à vue après la mort d’un homme lynché par une bande d’adolescents à Pau | |
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La seule information politique de ce samedi nous informe que le » couple présidentiel » passe le week end au fort de Brégançon !!
Digne d’intérêt non ??
desirdavenir77500
Par L’Obs
Publié le 30 avril 2018 à 06h10
La semaine qui vient, et qui coïncide avec le premier anniversaire d’Emmanuel Macron à l’Elysée (qui sera en déplacement toute la semaine en Australie et en Nouvelle-Calédonie), sera marquée par une série de manifestations sociales à l’appel des syndicats et d’organisations de gauche.
Elle coïncidera avec les traditionnels défilés du 1er mai, qui cette année s’inscrivent dans un contexte social très agité : mécontentements des fonctionnaires, des cheminots, des retraités, des salariés des Ehpad, de Carrefour, des personnels d’Air France, des étudiants… La mobilisation du 1er-Mai intervient d’ailleurs entre deux séquences de grève des cheminots contre la réforme de la SNCF, les 28 et 29 avril et les 3 et 4 mai. Chez Air France, des journées de grève pour jeudi et vendredi sont annoncées.
Un « meeting unitaire en soutien aux luttes sociales », réunissant notamment Benoît Hamon, Pierre Laurent ou Olivier Besancenot, se tiendra lundi soir place de la République à Paris, en prélude à cette semaine riche en mobilisations.
Etudiants, cheminots, personnels hospitaliers, salariés des Ehpad, de La Poste ou de Carrefour, s’exprimeront aux côtés des chefs de file de Génération.s, du PCF et du NPA, mais aussi de représentants d’EELV, de Nouvelle Donne, d’Ensemble, du groupe de députés LFI, de République et socialisme et de la Gauche démocratique et sociale, précise un communiqué du PCF.
Toutes ces organisations ont multiplié ces derniers temps les initiatives communes en soutien au mouvement social.
S’ils sont unis à la SNCF ou chez les fonctionnaires, les syndicats abordent le 1er-Mai en ordre dispersé, pour cause de positions irréconciliables sur la « convergence des luttes » prônée par la CGT.
Pour l’heure, il n’y a guère que Solidaires, syndicat non représentatif au niveau interprofessionnel, qui réponde aux appels cégétistes à une « convergence des luttes ». CGT et Solidaires ont défilé ensemble le 19 avril et seront de nouveau côte à côte à l’occasion du 1er-Mai. A Paris, leur manifestation partira à 14h30 de la place de la Bastille, pour rejoindre la place d’Italie.
Mais les autres syndicats sont plus réticents, voire totalement récalcitrants. La convergence des luttes n’est « pas la tasse de thé de la CFDT », selon son leader Laurent Berger. Estimant que ce mode d’action « ne permet jamais d’avoir des résultats concrets pour les travailleurs », son syndicat a dit « non » au 1er-Mai unitaire proposé par Philippe Martinez, son homologue de la CGT.
Le premier syndicat du secteur privé organise, à la place, un « 1er-Mai culturel et revendicatif » avec la CFTC et l’Unsa, autour de la diffusion en avant-première d’un film italien, « 7 minuti », sur les ouvrières d’une usine textile.
La CFE-CGC, quant à elle, n’organise pas d’événement pour le 1er-Mai. Selon son président, François Hommeril, la convergence des luttes « nuit à l’efficacité syndicale » et comporte « beaucoup trop de risques » de mélange des genres avec le politique.
Reste FO, dont la position est en train d’évoluer. Le syndicat, qui a changé vendredi de chef, est au milieu du gué. Au cours de l’année écoulée, le sortant, Jean-Claude Mailly, rechignait à battre le pavé avec la CGT, mais son successeur, Pascal Pavageau, se montre plus ouvert. Il ne manifestera pas avec la CGT le 1er-Mai mais veut construire « l’unité la plus large » pour la suite.
Il a indiqué que, « dès la semaine prochaine », il allait prendre contact avec ses homologues pour discuter d’une future « mobilisation interprofessionnelle », conformément au mandat que lui ont donné les militants de FO.
En attendant, Pascal Pavageau ne « s’affichera avec aucune autre organisation syndicale » pour le 1er-Mai et, s’il manifeste, ce sera avec ses « camarades FO ». Certains seront pourtant aux côtés de la CGT mardi, l’union régionale d’Ile-de-France (Urif) de Force ouvrière s’étant jointe à l’appel parisien.
A Paris, les syndicats ne seront pas seuls à manifester mardi : le Mili (Mouvement inter luttes indépendant) a lancé un appel général sur Facebook à « faire vivre une journée en enfer » à Emmanuel « Macron et son monde ».
Ce collectif « antifasciste et anticapitaliste », proche de l’extrême gauche, compte sur « la résonance internationale » du 50e anniversaire de Mai-68 pour drainer dans le cortège « des camarades venus des pays voisins ».
Les manifestations continueront jeudi. La CGT et Solidaires organisent une mobilisation nationale et interprofessionnelle, dans l’espoir de former un front unique contre la politique du gouvernement.
« Convergence des luttes ! » Tel est le mot d’ordre des deux syndicats qui appellent à la mobilisation. Plusieurs manifestations, où devraient se mêler des cheminots, des enseignants et lycéens sont organisées en France. Le défilé parisien quittera Montparnasse à 14 heures pour la place d’Italie.
A partir de jeudi et pour deux jours, des grèves sont prévues à la SNCF et Air France. Pour la seconde fois, leurs mouvements tombent les mêmes jours. L’intersyndicale d’Air France, au complet a appelé tous les salariés à faire de nouveau grève les 3 et 4 mai, rejoignant les syndicats de pilotes qui ont également lancé un préavis en ce sens. Deux autres préavis ont été déposés pour les 7 et 8 mai.
Parallèlement, les cheminots de la SNCF entament une septième séquence de deux jours de grève contre la réforme ferroviaire. Des rassemblements sont prévus à l’appel de l’intersyndicale de la SNCF devant l’école militaire, place Joffre à Paris à 13 heures et devant les préfectures en région.
Cette manifestation nationale pour « dire stop à Macron et à sa politique » a été lancée par le député La France insoumise François Ruffin. Ce dernier la qualifie de « manifestation pot-au-feu », où chacun est invité à venir avec ses propres revendications, pour « faire sa fête à Macron » dans un défilé parisien entre Opéra et Bastille à partir de 14 heures. La France insoumise table sur « plusieurs milliers » de manifestants et espère que les syndicalistes y viendront nombreux malgré le refus de la CGT d’y participer.
Les Insoumis espèrent que la journée du 5 mai « sera un point d’étape vers quelque chose de plus massif encore ».
Une cinquantaine d’artistes et d’intellectuels dont les romancières Annie Ernaux et Virginie Despentes ou l’acteur Jacques Weber, ont signé un appel pour manifester le 5 mai contre la politique « libérale et autoritaire » d’Emmanuel Macron.
De leur côté, les fonctionnaires, qui défendent aussi leur statut, préparent une deuxième journée de mobilisation unitaire le 22 mai, après celle du 10 octobre. Ces appels par la totalité des syndicats de fonctionnaires sont inédits depuis dix ans. Le secteur de la santé est également mobilisé.
(Avec AFP)
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