Archive pour la catégorie 'MACRON'

Homophobie……………………………..(04/09/2019)

Emmanuel Macron victime d’homophobie : un ministre de Bolsonaro s’en prend au président

« Le seul feu en cours est celui qui se trouve dans le cœur des Brésiliens et celui de notre président, espèce de clown. Viens et tu seras attrapé par le cou, ce cou de poulette », menace Renzo Gracie, ministre du tourisme brésilien depuis le 15 août 2019 et ancien champion de Jiu-Jitsu. Derrière la caméra, l’homme politique poursuit : « Tu ne me fais pas peur, non. Ici, nous sommes chauds ».

Des propos violents, relayés par le journaliste brésilien Adriano Wilkson, qui a interrogé l’ambassadeur du tourisme pour le média UOL.com, rapporte Le Nouvel Observateur. La vidéo a été diffusée sur Twitter le 31 août 2019, deux semaines après l’arrivée de Renzo Gracie au gouvernement.

 

« Ces clowns n’ouvrent la bouche que pour dire du mal de notre pays », s’agace-t-il devant les micros du journaliste, estimant Emmanuel Macron responsable de la chute du tourisme au Brésil. Il reproche au chef de l’Etat ses déclarations concernant ce qu’il juge être un « faux incendie », préjudiciable pour le secteur d’activité dont il est l’ambassadeur.

Ses assauts ne s’arrêtent pas là : il n’hésite pas non plus à donner dans la misogynie, s’attaquant – une fois de plus – au physique de Brigitte Macron. « Je vais te poser une question : sa femme, elle est belle ou moche ? Vous coucheriez avec elle ? […] Le fait qu’il couche avec un dragon ne fait pas de lui un spécialiste en incendie. Elle est moche, mec », assène-t-il face caméra. A titre informatif, précise L’Obs, le terme « dragon » est ici issu de l’argot brésilien et désigne « une femme laide ».

« Bien sûr, beaucoup vont être étonnés et penser que je l’ai traité de poulette parce que sa virilité est douteuse », souligne encore Renzo Gracie, qui assume ses propos. « Mais non. J’ai rencontré beaucoup d’hommes gays plus masculins que cet imbécile », déclare-t-il encore, toujours plus homophobe.

 
Publié dans:MACRON |on 4 septembre, 2019 |Pas de commentaires »

Merci Jonas, pédant, prétentieux…………….(13/11/2017)

13 novembre: des victimes des attentats dénoncent le mépris de Macron à leur égard

Commémoration le 13 novembre 2016
Commémoration le 13 novembre 2016 – © JOEL SAGET - 
Frédéric Says, correspondant à Paris

Publié à 06h55 

En France, deux ans après les attentats du Bataclan, des terrasses parisiennes et du Stade de France, les survivants craignent d’être oubliés. Des associations de victimes regrettent une attention insuffisante des pouvoirs publics à leur égard.

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« Je refuse de saluer Emmanuel Macron »: voici comment Michael Dias commence sa lettre ouverte. Il est fils de l’une des premières victimes, tuée par un kamikaze le 13 novembre aux abords du stade de France. Dans ce texte véhément, publié par le site du Huffington Post, Michael Dias dénonce le mépris d’Emmanuel Macron pour les victimes. Il regrette également une stratégie de la banalisation du terrorisme.

Il est vrai que le président français a prévu une commémoration sobre ce lundi. Il ne fait pas de discours, n’inaugure pas de monument. Il a simplement prévu de se recueillir en comité restreint, sur le lieu des attaques.

Traumatisme

Dès le début du mandat d’Emmanuel Macron, les associations de victimes du terrorisme avaient regretté son indifférence « notamment parce qu’il avait supprimé le secrétariat d’Etat chargé de l’aide aux victimes, mis en place sous François Hollande« .

Ces derniers jours, le Premier ministre français a essayé d’apaiser la colère. Il a annoncé la nomination d’une déléguée interministérielle à l’aide aux victimes. Une interlocutrice stable et identifiée, comme le demandaient les associations.

Mais deux ans après les attentats, ces associations se plaignent toujours des très grandes lenteurs administratives dans la prise en charge de leur traumatisme.

Publié dans:MACRON |on 13 novembre, 2017 |Pas de commentaires »

Les Français et Macron : le temps des premières questions(20/08/2017)

Emmanuel Macron, « vrai chef » ou président « caporaliste » ? La question de l’autorité divise l’opinion. L’institut BVA a recueilli les paroles de Français, Adrien Abecassis, l’ex- »monsieur opinion » de François Hollande, les décortique.
Adrien Abecassis et Adélaïde Zulfikarpasic Publié le 20 août 2017 à 08:30
Une analyse d’Adrien Abecassis, expert associé à la Fondation Jean Jaurès, diplomate et ancien conseiller opinion de François Hollande à l’Elysée. Avec Adélaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA opinion.
Cent jours après la prise de fonction du président, les réactions des Français se précisent : on voit de moins en moins de « j’attends de voir » et de « il faut lui donner sa chance », comme si les jugements commençaient à se former.
L’avis des Français est pour autant très loin d’être définitif. S’ouvre plutôt un « temps des questions », comme si l’opinion commençait à regarder d’un peu plus près certains traits de cette nouvelle présidence afin de commencer à se déterminer plus précisément.
Le « sursis bienveillant » qui s’est ouvert après l’élection (et dont nous parlions au mois de mai) prend ainsi progressivement fin ; et l’on voit les Français commencer à soupeser les éléments à la lumière de ces premiers mois pour juger de l’issue à donner à ce sursis… Cela prendra encore quelques temps (la justice des Français n’est pas expéditive !), mais le processus semble assurément lancé.
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Et, portée par l’actualité, c’est la question de « l’autorité » qui émerge parmi ces premiers éléments examinés de plus près. Que nous disent les Français ?
« Un vrai chef »
Il faut rappeler que l’opinion est très loin d’être rétive à l’affirmation, forte si nécessaire, d’une l’autorité politique, d’un chef. Ainsi, interrogés en juin dernier peu après l’élection d’Emmanuel Macron, 88% des Français estimaient que « l’on a besoin d’un vrai chef pour remettre de l’ordre » et 84% que « l’autorité est une valeur trop souvent critiquée » (Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès et « Le Monde »). Il y avait donc plus qu’une bénévolence : une réelle attente de reprise en main.
C’est aussi ce que nous disent, avec leurs mots, les nombreux Français interrogés par BVA pour Orange- »La Tribune ». Beaucoup portent encore au crédit d’Emmanuel Macron le fait de faire preuve de « volonté et d’autorité », d’avoir « l’air de savoir ce qu’il veut faire et de s’y tenir », ou encore
« d’assumer ses promesses de campagne avec une certaine autorité ».
Parmi les gens qui voulaient un « chef », une bonne partie d’entre eux apprécient ainsi ces postures de fermeté :
« Il réunit ce qu’on demande d’un chef : il a l’autorité, il paraît avoir une certaine vision de l’avenir, semble tenir ses troupes. »
« Tenir ses troupes », comme un attribut exigé du chef de l’Etat : c’est ce qui peut expliquer les réactions plus distantes sur les derniers événements d’une opinion moins au fait des questions militaires.
Le chef d’état-major des armées Pierre de Villiers annonce sa démission
Mais l’on voit aussi apparaître, et cela est nouveau, des jugements plus négatifs – qui se transforment parfois en franche critique :
« Son côté Jupitérien commence à m’exaspérer. »
« Il fait petit chef », « autocrate. »
« On dirait qu’il veut se prendre pour un dictateur en herbe. »
Le sursis ne tombe pas toujours du même côté. Comment comprendre ces représentations opposées ? Sur quoi s’appuient-elles, et pourquoi tombent-elles d’un côté ou de l’autre ?
Autorité légitime ou caprice ?
Là encore, ce que nous disent les paroles rapportées par BVA est extrêmement éclairant. La question sous-jacente paraît être : vers quoi cette autorité est-elle dirigée ?
Les Français qui voient cette autorité tournée vers un objectif juste ou nécessaire (pour dépasser des obstacles ou des réticences par exemple) l’applaudissent :
« Il est ferme, pour le moment il tient ses engagements », dit l’un.
« Il fait ce qu’il dit et il dit ce qu’il fait », dit l’autre.
« Il agit, met en place des vraies réformes là où les autres étaient incapables de changement ». « Il fonce ! ».
Cette autorité-là n’est pas vue comme tournée vers elle-même (exercice du pouvoir autocentré et solitaire) mais exercée au nom des Français pour respecter les engagements pris devant eux. Elle est donc, à leurs yeux, parfaitement légitime.
C’est tout l’inverse pour ceux qui voient l’autorité exercée par le président non pas dans le but de réaliser ce que les Français lui ont confié, mais de faire « ce qu’il veut ». Dans ce cas-là, problème…
« Il donne dans le caporalisme et réagit comme un enfant capricieux ! »
Les mots utilisés sont significatifs : parler de « caprice », c’est bien renvoyer à sa seule volonté et non à celle du peuple français. Or le président ne tient son pouvoir que parce que les Français le lui ont confié à travers l’élection directe… et ils en sont parfaitement conscients. Le président ne peut donc, à leurs yeux, s’en éloigner, ni prétendre exercer une autorité « autonome » d’eux.
« Être chef d’État ne signifie pas devenir dieu ! », lit-on dans un raccourci qui condense parfaitement cela, « diriger un Etat demande plus qu’un sentiment de toute puissance, ça demande d’écouter la population. »
Il n’y a pas de légitimité extérieure au peuple, ce sont les gens qui ont le pouvoir et ils le savent : le président peut donc être autoritaire – et doit même l’être – avec ce qui peut gêner son action légitime, mais jamais avec le peuple français ; et ce pouvoir doit toujours paraître exercé au nom de ces mêmes Français (commanditaires ultimes!), car dès qu’il leur paraît exercé de façon autonome, il est rejeté… ce qui est, après tout, rassurant sur la vitalité de la Nation et ses réflexes démocratiques solidement ancrés !
La plupart des verbatims critiquant l’exercice du pouvoir tournent ainsi autour de cette notion :
« Je le trouve narcissique, autoritaire, il ne me paraît pas à l’écoute des petites gens. »
L’écoute, ou plutôt le « manque d’écoute » qui revient à plusieurs reprises, est une autre façon d’exprimer la même idée : le souverain est l’émanation du peuple et doit donc sans cesse l’écouter, être au milieu d’eux, savoir partager lorsqu’il le faut leur quotidien ; à l’inverse le souverain seul en son palais touché par l’enfermement ou de déconnexion, devient dévoyé dans notre imaginaire politique.
Mais comment être vraiment le président de « tous » les Français ? C’était la question que se posaient déjà les gens interrogés par BVA au mois de juin.

L’OBS

Publié dans:MACRON |on 20 août, 2017 |Pas de commentaires »

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