Archive pour la catégorie 'SANTE'

Coronavirus………………………..(01/03/2020)

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ALERTE INFO
Coronavirus Covid-19 : à quel point le virus est-il dangereux ? On a posé la question à des experts (et ils sont plutôt rassurants)
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Publié dans:SANTE |on 1 mars, 2020 |Pas de commentaires »

Coronavirus………………………(26/02/2020)

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Covid-19 : ce que l’on sait de la mort de l’enseignant de l’Oise infecté par le coronavirus
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Publié dans:SANTE |on 26 février, 2020 |Pas de commentaires »

Eh! oui…………………………….(23/02/2020)

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« C’est à lui de saisir l’opportunité de sa nouvelle fonction » : douze collectifs et syndicats hospitaliers réagissent à la nomination d’Olivier Véran
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Publié dans:SANTE |on 23 février, 2020 |Pas de commentaires »

Coronavirus…………………………..(28/01/2020)

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Coronavirus : le malade confirmé en Allemagne a été contaminé par une autre personne, premier cas de transmission entre humains sur le sol européen
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Publié dans:SANTE |on 28 janvier, 2020 |Pas de commentaires »

Bonne santé……………………..(13/01/2020)

Plus de 1 200 chefs de service et responsables hospitaliers annoncent ce mardi dans une lettre à la ministre de la Santé leur intention de démissionner de leur fonction d’encadrement si des négociations ne sont pas engagées. Unacte fort et inédit pour dénoncer les conditions de travail au sein des établissements publics.

  • Crisede l’hôpital : démissions en bloc

C’est historique. Jamais les médecins des hôpitaux n’avaient engagé un tel bras de fer pour protester contre les difficultés qui les assaillent jour après jour. «C’est pour vous alerter solennellement que nous avons pris en toute responsabilité la décision inédite et difficile de démissionner collectivement à partir du 14 janvier si à cette date des négociations ne sont pas engagées», écrivent les signataires à la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, dans une lettre rendue publique ce mardi. Ces 1 200 praticiens, chefs de service ou responsables hospitaliers démissionneraient seulement de leurs fonctions d’encadrement.

Autour du professeur André Grimaldi, le collectif Inter-Hôpital, initiateur du texte, va préciser ce mardi matin quelle forme cette démission va prendre. «Bien sûr, les soins aux malades sont maintenus, mais toute participation aux instances de l’hôpital va être suspendue, ou alors faite de façon collective», nous explique un des signataires. Très rapidement, au-delà du symbole, la vie hospitalière en sera affectée.

«Faire avancer les choses»

Cet acte de rébellion, qui couvait depuis plusieurs semaines, touche tous les services, toutes les régions et tous les hôpitaux. A Marseille, ils sont plus d’une cinquantaine à démissionner, à l’instar de Jean-Luc Jouve, chef de service de l’orthopédie pédiatrique à la Timone. Sans étiquette politique ni syndicale, il mène l’action et dit son désarroi : «On n’en peut plus. Nous avons vu les moyens s’écorner au fil des années. Nous n’avons pas beaucoup de solutions pour tenter de peser dans les décisions, sans modifier la qualité des soins. La démission de nos fonctions administratives est symbolique mais elle peut faire avancer les choses, nous continuerons les soins.»

A Toulouse, à Bordeaux, ils sont plus d’une dizaine à démissionner. A Paris, les trois candidats à la présidence de la Commission médicale d’établissement – la plus haute instance, qui regroupe tous les médecins de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris – ont apporté leur soutien. A Clermont-Ferrand, à Limoges, à Lille, le même acte est posé : on arrête.

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A côté de cette action, un texte de soutien aux démissionnaires, signé à ce jour par 4 894 soignants, est rendu public. «Nous, personnels hospitaliers de toutes catégories professionnelles, apportons notre soutien aux médecins, chefs de service, responsables d’unités de soins ou membres nommés ou élus de structures ayant décidé de démissionner collectivement de leurs fonctions d’administration, de gestion et de représentation», écrivent ces infirmières, cadres de santé ou médecins de base. «Nous soutenons la demande d’un Grenelle de la santé. Les médecins démissionnaires ne demandent rien pour eux. Ils continuent à soigner. La population doit répondre à leur appel. Leur cri d’alerte doit être entendu par le gouvernement», pointe leur texte.

Cassure

Cette double initiative marque un tournant dans la crise chronique qui secoue l’hôpital. En dépit de quatre plans successifs présentés par la ministre et d’annonces répétées de budgets supplémentaires, rien n’y fait, les pouvoirs publics n’arrivent pas à dissiper la méfiance des hospitaliers. C’est peut-être cela le plus grave, cettecassure. Agnès Buzyn, arrivée au ministère de la Santé auréolée de son passé de brillante médecin hospitalier, a tardé à prendre la mesure de la crise. «Depuis un an, ce ne sont que des annonces. Par exemple, on nous a dit que la dictature de la T2A [la tarification par activité, ndlr] allait cesser. Or, dans la pratique, rien n’a changé», observe désabusé un chef de pôle parisien.

Lundi, la ministre de la Santé n’a pas nié la profondeur de la crise. Invoquantl’immobilisme passé, elle a demandé «du temps». «Nous avons un calendrier. Pour la première fois depuis dix ans, les actes médicaux hospitaliers vont être revalorisés», a-t-elle déclaré sur France Info. Réponse du professeur Grimaldi : «Nous attendons la réponse de la ministre à notre lettre.»

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La tenue d’un Grenelle de la santé est désormais la dernière revendication à discuter pour sortir de l’impasse. Le climat, en tout cas, restelourd. Des menaces commencent à planer sur certains chefs de service qui, depuis un mois, refusent de coder les actes médicaux. Une nouvelle journée d’action devrait être fixée «avant la fin du mois».

Eric Favereau

Publié dans:SANTE |on 13 janvier, 2020 |Pas de commentaires »

Dopage……………………………………(9/12/2019)

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L’Agence mondiale antidopage exclut la Russie des Jeux olympiques pendant quatre ans, annonce son porte-parole
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Publié dans:SANTE |on 9 décembre, 2019 |Pas de commentaires »

Un « plan » de plus…..(20/11/2019)

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et le Premier ministre, Edouard Philippe, présentent le \"plan d\'urgence\" pour l\'hôpital public, le 20 novembre 2019 à Paris. 
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et le Premier ministre, Edouard Philippe, présentent le « plan d’urgence » pour l’hôpital public, le 20 novembre 2019 à Paris.  (MARTIN BUREAU / AFP)
Ce qu’il faut savoirUn « plan d’urgence », huit mois après le début d’un mouvement social inédit. Le Premier ministre, Edouard Philippe, et la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, ont dévoilé, mercredi 20 novembre dans la matinée, des mesures d’urgence face à la crise des hôpitaux publics. La ministre de la Santé a notamment annoncé une prime de 800 euros net pour 40 000 infirmiers et aides-soignants vivant à Paris et en petite couronne, et gagnant moins de 1 900 euros par mois. Quant au Premier ministre, il a proposé une hausse de 1,5 milliard d’euros du budget des hôpitaux, sur les trois prochaines années. Suivez notre direct.

Une hausse des salaires et des effectifs réclamée. Le mouvement de grève au sein de l’hôpital public est suivi par un quart des médecins hospitaliers, et par plus d’un paramédical sur dix. Les revendications de ce mouvement restent principalement une hausse des salaires (de l’ordre de 300 euros par mois) et des effectifs, ainsi qu’un arrêt des fermetures de lits.

De premières annonces jugées insuffisantes. Les annonces de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, en juin et en septembre, n’ont pas suffi à mettre fin au mouvement de grève. La ministre a promis fin octobre un « plan de soutien » axé sur « l’attractivité de l’hôpital », avec « la revalorisation des salaires notamment en début de carrière ». 

« Investir plus fortement ». Emmanuel Macron assure avoir « entendu la colère et l’indignation » de l’hôpital. Il n’entend pourtant pas modifier son plan « Ma santé 2022″, présenté en septembre 2018, mais plutôt l’accélérer. Le chef de l’Etat a donc demandé au gouvernement d’« investir plus fortement »

 Plusieurs mesures annoncées. Agnès Buzyn a par ailleurs annoncé une prime au mérite annuelle de 300 euros qui « pourra bénéficier à 600 000 professionnels de santé ». La prime d’engagement dans la carrière hospitalière sera également revalorisée. Concernant l’enveloppe supplémentaire de 1,5 milliard d’euros pour le budget des hôpitaux, 300 millions d’euros seront investis dès 2020. Le Premier ministre a également annoncé une reprise partielle de la dette des hôpitaux, à hauteur de dix milliards d’euros sur trois ans.

 

Le live

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#HOPITAUX
Publié dans:SANTE |on 20 novembre, 2019 |Pas de commentaires »

Pauvres hôpitaux !! (14/11/2019)

Opérations non urgentes déprogrammées, cours reportés dans les facultés de médecine, grande manifestation à Paris… La journée de mobilisation des personnels paramédicaux, médecins, internes et étudiants en médecine, jeudi 14 novembre, pour « sauver l’hôpital public » pourrait être d’une ampleur inédite depuis une dizaine d’années. Parmi les revendications des manifestants : une augmentation immédiate de 300 euros net mensuels de tous les salaires, l’arrêt des fermetures de lits d’hospitalisation et l’abandon de la tarification majoritaire à l’activité.

Si cette journée de mobilisation fédère autant d’acteurs du monde hospitalier, réunissant aussi bien des syndicats de médecins que la Conférence des doyens de facultés de médecine, c’est parce que le malaise qui couvait depuis des années à l’hôpital public a pris ces derniers mois une ampleur nouvelle. En de nombreux endroits du territoire, le système craque.

Une ville comme Mulhouse se retrouve sous la menace d’une fermeture de ses urgences faute de médecins en nombre suffisant. La maternité de Tourcoing est contrainte de suspendre les accouchements, faute d’obstétriciens. Plus de 900 lits sur 20 000 sont fermés dans les 39 établissements franciliens de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), le « navire amiral » de l’hôpital public, parce que plus de 500 postes d’infirmiers sont vacants faute de candidats.

Le Monde

Publié dans:SANTE |on 14 novembre, 2019 |Pas de commentaires »

Nouveau…………………………….(25/10/2019)

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L’Assemblée nationale autorise une expérimentation du cannabis thérapeutique pour deux ans
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Publié dans:SANTE |on 25 octobre, 2019 |Pas de commentaires »

Bioéthique……………………………..(27/09/2019)

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Loi de bioéthique : l’Assemblée nationale vote l’ouverture de la PMA à toutes les femmes
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Publié dans:SANTE |on 27 septembre, 2019 |Pas de commentaires »
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